Le but de ce blog est d'échanger autour de mes lectures mais aussi des séries que je regarde et de cinéma. Chacun à son opinion et je suis là pour échanger les points de vue sur des sujets qui me tiennent à coeur.
Dans la vie, il y a des hauts et des bas, c'est comme ça.
Il y a aussi des grands et des petits.
Les grands sont en haut et les petits en bas, cela va de soi...
Et si on changeait tout ça ?
Mon Avis
J'ai adoré cet album. Il est parfait pour les petits. Les personnages sont très colorés et tous différents. Du coup, c'est une bonne façon de parler de la mixité sociale dès le plus jeune âge. Les animaux et la nature sont très présents : girafe, oiseaux, fleurs ...
Le format est très bien trouvé. Le fait qu'il soit tout en hauteur permet encore plus de faire la différence entre petits et grands. C'est vraiment u très joli ouvrage qui plaira à tout le monde. L'histoire est toute mignonne et les couleurs sont très attrayantes.
Je déteste les mecs qui appellent les filles "bébé". C'est ce qu'on dit quand on ne se souvient pas de son prénom ou quand on est juste trop fainéant pour lui trouver un vrai surnom.
Lorsqu'elle était adolescente, les très riches parents de Shaw Landon se sont peu occupés d'elle. Elle a alors trouvé refuge dans la famille Archer où elle était particulièrement proche de Remy, frère jumeau de Rule, aujourd'hui décédé dans un accident de voiture. Elle est liée à cette famille plus qu'à la sienne. Mais Shaw est depuis toujours amoureuse de Rule, ce qui l'empêche d'avoir de véritables relations avec d'autres hommes. Rule, lui, voit en elle une fille à papa, trop sérieuse et surtout la petite amie de son défunt frère. De plus, tout les oppose : de nature rebelle et fêtard, il est tatoueur et tatoué, a des piercings et les cheveux de toutes les couleurs. Avec son look classique, elle est sage et concentrée sur ses études de médecine. Mais parfois, il suffit d'une jupe courte et de quelques cocktails pour que le regard que l'on porte sur quelqu'un change. Les secrets sont révélés et rien ne sera plus jamais comme avant...
Mon Avis
J'avoue avoir un petit faible pour les tatouages mais je suis bien trop douillette pour oser franchir le pas. Du coup, je connaissais déjà un peu cet univers sans pour autant en faire partie, vu que je n'écoutes pas de métal et que je n'ai ni tatouages ni piercings.
Le charme opère très vite. Rule est un tatoueur, un peu coureur de jupons sur les bords. On ne peut que s'attacher à cet homme. Derrière son côté négligé et blasé, on ressent une vraie souffrance et un réel manque.
Shaw est totalement l'opposée de Rule. Jeune fille de bonne famille, toujours présentable. Bref, rien à redire. Mais, on découvre vite une autre facette de sa personnalité et cela la rend plus intéressante.
Pour moi, c'est le duo qui rend l'histoire intéressante. Ils se connaissent depuis l'adolescence et pourtant, ils se côtoient assez peu en dehors du repas hebdomadaire chez la famille de Rule. D'ailleurs, c'est toujours un moment difficile car c'est une famille brisée par le décès de Remy, le jumeau de Rule.
On n'est pas vraiment dans une romance nian-nian et cela fait du bien. On est dans un univers assez dur et complexe. Exit le prince charmant trop parfait. En fait, les personnages font plus vieux qu'ils ne le sont réellement. Etant donné qu'ils ont tous leur lot de problèmes, ils sont plus matures et on oublie assez vite qu'ils n'ont qu'une vingtaine d'années.
J'ai adoré ce récit. En fait, j'aime quand l'histoire s'achève avec un tome mais que l'on retrouve les personnages dans les tomes suivants qui se centrent sur d'autres personnages/couples. C'est génial de tomber sur une auteure qui veut vraiment mettre un univers en avant en exploitant tous les personnages. C'est un livre qui parle de l'univers du tatouage mais avec des histoires de famille, des secrets, des non-dits... Bref, pour moi, c'est un livre très complet ....
Oh, ne jure pas par la lune, l'astre inconstant
Qui varie tout le mois sur son orbite,
J'aurais trop peur
Que ton amour ne soit tout aussi changeant.
Deux anciennes Maisons d'égale dignité, dans la belle Vérone où se tient notre scène, font un nouvel éclat de leur antique hargne, le sang civil salit les mains des citoyens. Or dans le sein fatal de ces deux ennemis, deux amants prennent vie sous la mauvaise étoile, leur malheureux écroulement très pitoyable enterre en leur tombeau la haine des parents. Les terribles moments de leur amour mortel, et l'obstination des rages familiales, que rien sinon la mort des deux enfants n'apaisera.
Mon Avis
C'est la première fois que j'ose faire une chronique sur une œuvre dite classique. Mais bon, j'avais envie de lire cette pièce donc autant que j'en fasse un petit article. Comme tout le monde, je connaissais l'histoire de ces amants maudits (merci le cinéma et les comédies musicales).
En fait, c'est juste une histoire de coup de foudre. En un regard, Roméo et Juliette vont oublier leurs sentiments actuels et se lier. Malheureusement, leurs deux familles sont rivales et les jeunes amoureux savent très bien qu'ils feront tout pour les séparer. C'est d'ailleurs cela qui causera la fin du couple.
Je ne vais pas revenir plus sur l'histoire qui est connue de tout le monde. Les dialogues sont très bien écrits. Parfois, j'ai eu l'impression de lire de la poésie. Mais au final, j'ai trouvé cette lecture assez longue et peu intéressante. Je ne sais pas si cela vient du fait que ce n'était pas vraiment une découverte. Je pense que c'est une œuvre à lire ne serait-ce que pour la plume de Shakespeare.
Que des gens puissent survivre dans un endroit aussi retiré dépassait sa compréhension. Supporter les rues encombrées de Dublin lui semblait plus facile que de devoir passer tous les jours de la semaine sous une pluie battante, au milieu de ces champs qui s'étendaient à perte de vue. Au diable le paysage...
Belle, indépendante, sauvage, Maggie possède un talent incontestable. Dans son petit cottage de l'ouest de l'Irlande, elle souffle le verre et crée de magnifiques œuvres, dignes des plus grands maîtres verriers. Cette vie solitaire consacrée à l'art, Maggie l'a voulue, choisie. Jusqu'au jour où Rogan Sweeney s'entiche de ses créations. Riche propriétaire de galeries, il n'a plus qu'une idée en tête : les faire connaître au monde entier. Mais comment convaincre la jeune femme de sortir de sa tanière pour venir exposer à Dublin ? Bien entendu, elle refuse énergiquement : il n'en ai pas question. Sa tranquilité avant tout ! Rien ni personne ne la fera bouger de son antre. Rogan, lui, est tenace et convaincant. Tant et si bien que Maggie finit - de mauvaise grâce - par accepter. Car cet homme a du charme à revendre.
Mon Avis
Une fois de plus, je retourne auprès de mon auteure chouchou. Je sais que je ne serais pas déçue en commençant une lecture signée Nora Roberts. Le série se passe en Irlande et j'adore cela. On retrouve une ambiance unique et particulière.
Ici, on va suivre Maggie. C'est une artiste qui souffle le verre avec beaucoup de talent. Elle est assez solitaire et ne vit que pour son travail. Ce que j'ai aimé chez elle, c'est que derrière sa carapace, elle cache une certaine souffrance liée à son histoire familiale. Sa mère est très cruelle et lui reproche même son existence. Il est donc facile de s'attacher à Maggie.
Rogan Sweeney gère les Galeries Worldwide. Il adore le travail de Maggie et souhaite l'exposer. On imagine très bien la réaction de la volcanique irlandaise, mais elle finira par accepter de lui donner l'exclusivité de son œuvre. Ils ont deux caractères opposés. En fait, ils sont comme le feu et l'eau tout en se complétant parfaitement.
Une fois ma lecture achevée, j'en voulais encore. On commence seulement à effleurer la nouvelle Maggie et j'avoue que cela m'aurait plu d'avoir quelques pages supplémentaires. Nora Roberts a vraiment un truc pour nous faire visualiser les lieux. L'Irlande dévoile ses deux facettes : la ville avec Rogan et la campagne avec Maggie. C'est le duo parfait.
J'ai l'impression que tout le monde veut se faire passer pour ce qu'il n'est pas. Alors qu'au fond, on est tous aussi paumés les uns que les autres. On est juste plus ou moins doués pour le cacher
Lily Blossom Bloom n'a pas eu une enfance très facile, entre un père violent et une mère qu'elle trouve soumise, mais elle a su s'en sortir dans la vie et est à l'aube de réaliser le rêve de sa vie : ouvrir, à Boston, une boutique de fleurs. Elle vient de rencontrer un neurochirurgien, Ryle, charmant, ambitieux, visiblement aussi attiré par elle qu'elle l'est par lui. Le chemin de Lily semble tout tracé. Elle hésite encore un peu : il n'est pas facile pour elle de se lancer dans une histoire sentimentale, avec des parents comme les siens et Atlas, ce jeune homme qu'elle avait rencontré adolescente, lui a laissé des souvenirs à la fois merveilleux et douloureux. Est-ce que le chemin de Lily est finalement aussi simple ? Les choix les plus évidents sont-ils les meilleurs ? Le chemin d'une jeune femme pour se trouver et pour rompre le cycle de la violence. Est-ce que l'amour peut tout excuser ?
Mon Avis
Ce livre m'a tellement touché. Il est totalement différent de ce que Colleen Hoover a déjà écrit. C'est beaucoup plus personnel et cela se ressent. Si vous voulez un livre avec une romance parfaite, ce n'est pas le titre qu'il vous faut. Mais, c'est un livre à lire absolument car il est juste magnifique.
Alors oui, j'aurais voulu que cela soit différent mais ce n'est clairement pas possible vu la thématique. Toutefois, l'auteure le fait d'une façon très poétique. On comprend les réactions de Lily. C'est une jeune femme réfléchie (peut-être même trop), forte et courageuse. Ses décisions m'ont souvent frustré et découragé, mais c'était un passage obligatoire. C'est un sujet tabou mais très bien travaillé. Ce récit m'a totalement happé.
On ne peut pas ne pas s'attacher aux personnages. On les aime pour leurs qualités mais aussi pour leurs défauts. On veut comprendre les choses et avoir autant de maturité que Lily. En fait, il est impossible d'être indifférent à l'histoire de chacun.
Pour moi, c'est plus qu'un livre. On peut parler de leçon de vie. Ce n'est pas forcément un happy end mais c'est une belle fin qui rend hommage aux personnages et à la plume de Colleen Hoover. C'est le coup de cœur. Je n'ai pas pu le lâcher, c'est addictif.
Sabrina Spellman est une adolescente presque comme les autres : Elle est née suite à la relation entre un sorcier et une mortelle, ce qui fait d'elle un hybride des deux. Elle vit dans la petite ville de Greendale, élevée par ses deux tantes paternelles, Hilda et Zelda, et fréquente le lycée de la ville avec des adolescents mortels. Néanmoins, à l'aube de son seizième anniversaire, elle doit faire un choix : accepter d'être baptisée pour devenir membre de la satanique Église de la Nuit ou renoncer et continuer sa vie au côté des mortels mais avec peu de pouvoirs. Elle va également devoir faire face à des forces maléfiques qui menacent sa famille et le monde des mortels car dans l'ombre, l'horrible Madam Satan est prête à tout pour aider Satan à recruter la jeune fille.
Genre: Fantastique, Horreur
Statut: En Production
Nombre de saisons: 1 saisons
Nombre d'épisodes: 11 épisodes
Casting :
Kiernan Shipka : Sabrina Spellman
Ross Lynch : Harvey Kinkle
Miranda Otto : Zelda Spellman
Lucy Davis : Hilda Spellman
Chance Perdomo : Ambrose Spellman
Michelle Gomez : Mary Wardell
Jaz Sinclair : Rosalind Walker
Tati Gabrielle : Prudence
Richard Coyle : Père Blackwood
Mon Avis
J'ai vécu mon adolescence avec Sabrina et Salem. J'aimais l'ambiance et le ton. Du coup, j'attendais vraiment ce reboot. Malheureusement, je ressens une pointe de déception après cette première saison. Il y a du bon mais aussi du mauvais.
La bande annonce est totalement dans l'esprit de Riverdale (les producteurs sont les mêmes). Mais du coup, il y a un petit côté déjà-vu. L'ambiance est très similaire bien que le glauque soit poussé au maximum. Heureusement, le scénario est bon et nous donne envie de continuer le visionnage.
J'ai tout de même eu cette réflexion : "Tout ça pour ça". Le dernier épisode reprend totalement le premier, comme si seulement quelques minutes s'étaient déroulées entre les deux épisodes. Et puis, j'ai eu un peu de mal avec Sabrina. Elle manque de jugeote et ne voit pas qu'on la manipule. En fait, tous ses choix sont dictés par l'amour qu'elle porte à Harvey. Sauf que la série nous a été vendu comme étant féministe. Mais non, Sabrina n'est pas féministe, c'est juste une ado amoureuse.
Point plus que positif pour moi, la série aborde le racisme et les problématique LGBTQ+. On ne fait pas que effleurer ces situations, on est plongé dedans. Niveau casting, rien à redire, Kiernan Shepka fait le job.
Après avoir vu les 11 épisodes, je reconnais que la série est prometteuse. Mais j'ai besoin de réponses. Les bases sont posées, j'attends juste la suite.
Connie était transie jusqu'aux os. Ce n'était pas l'obscurité ni la solitude de la maison vide qui la terrifiaient, mais quelque chose qu'elle n'aurait su définir : une présence diffuse et pourtant envahissante. Malveillante.
Sussex, 1912. A vingt-deux ans, Connie Gifford vit avec son père dans la vieille batisse qui hébergeait autrefois un célèbre musée de taxidermie. Désormais, les oiseaux empaillés ornant le salon des maisons bourgeoises sont passés de mode et les raisons de la fermeture du musée tenu par la famille Gifford restent mystérieuses. Connie a perdu la mémoire après un accident et ne garde aucun souvenir de cette époque. Lorsque le cadavre d'une femme est découvert dans un ruisseau derrière la propriété des Gifford, le passé ressurgit... Connie met dès lors tout en œuvre pour démasquer les coupables et dévoiler enfin les secrets de ces années oubliées.
Mon Avis
Connie est une jeune femme amnésique qui vit avec son père, un ancien taxidermiste qui est désormais alcoolique. Connie inspire la confiance et elle est attachante. On sent que son amnésie la perturbe et qu'elle veut retrouver son passé. Son père est la représentation parfaite de l'alcoolique. J'ai eu envie de le gifler pour qu'il se reprenne et achève les mystères. Beaucoup de personnages gravitent autour de cette famille et on sent les secrets qui rongent tout le monde.
Les personnages sont au cœur de l'intrigue. Et au final, cela m'a posé un problème. On passe rapidement de l'un à l'autre. De plus, l'action se déroule dans plusieurs endroits à la fois. Du coup, à peine on avance sur le passé de Connie qu'on se retrouve au paragraphe suivant avec Harry avant de retourner avec Joseph et sa mystérieuse mission. Alors oui, on s'attache à eux mais on finit aussi par s'y perdre. On en vient à mélanger les personnages et les lieux.
Ce n'est qu'à la fin du récit que tous les personnages se retrouvent. C'est un peu comme un point final à l'intrigue. La taxidermie est très présente notamment grâce à des extraits issus d'un livre traitant du sujet. Et ici, cela prend tout son sens. AU final, c'est une lecture assez longue pour moi avec peu d'action. Pourtant, je n'ai pas pu m'arrêter, il fallait que je connaisse la fin.
À la suite de l'incendie du manoir Baudelaire et de la mort de leurs parents, Violette, Klaus, et Prunille se retrouvent orphelins. Monsieur Arthur Poe, le directeur de la banque où est entreposée la grande richesse de la famille, est donc chargé de confier les enfants au parent le plus proche de Monsieur et Madame Baudelaire : le comte Olaf, un sinistre acteur égoïste et vantard, qui ne cherche qu'à se débarrasser des enfants et mettre la main sur leur fortune familiale. Les trois enfants vont devoir traverser différentes aventures dans l'espoir d’empêcher la réussite du diabolique comte mais aussi pour sauver leurs vies, constamment en danger.
Genre: Aventure
Statut: Terminée
Nombre de saisons: 3 saisons
Nombre d'épisodes: 25 épisodes
Casting :
Neil Patrick Harris : Comte Olaf
Patrick Warburton : Lemony Snicket
Malina Weissman ; Violet Baudelaire
Louis Hynes : Klaus Baudelaire
Presley Smith : Prunille Baudelaire
K. Todd Freeman : Arthur Poe
Mon Avis
Inspirée des romans de Lemony Snicket, la série Netflix reprend tous les codes des livres. Visuellement, on plonge dans un univers assez austère et pousse au maximum le côté misérable qui entoure les trois enfants. Toutefois, le ton est caustique et décalé, surtout grâce au Comte Olaf.
Le générique met direct dans l'ambiance. Il est d'ailleurs interprété par Neil Patrick Harris dans la version originale. On sent beaucoup de second degré car on nous invite à "détourner le regard" et à ne pas regarder la suite. L'humour est au rendez-vous dès le générique.
Pour incarner l'odieux Comte Olaf, je n'imaginais pas Neil Patrick Harris. Et pourtant, cela fonctionne super bien. Il est à la fois attachant et détestable.
Si vous connaissez les livres, pas de soucis. La série propose de l'inédit en prenant des directions différentes des livres. Au final, cette saison a tout pour plaire. La reconversion de Neil Patrick Harris est réussie et il passe assez facilement au dessus de son rôle dans How I Met Your Mother.